Le livre expliqué chronologiquement

 6 novembre : Poursuite du Narval Géant , 22h50 le professeur Aronnax tombe à l'eau . Il découvre le vrai visage du " monstre" . ( Large du Japon )


8 novembre : à midi , leur voyage dans le Nautilus commence . Il se situent à trente sept et quinze minutes de longitude à l'Ouest du méridien de Paris et par trente degrés et sept minutes de latitude nord, c'est à dire à trois cent milles environ des côtes du Japon.


9 novembre: Le professeur Aronnax S'habille avec des vêtements fait à base de mollusques. 


10 novembre: Même abandon et solitude que la veille , il ne voit personne de l'équipage , Ned et conseil passèrent une grande partie de la journée avec lui. Ils se posent des questions sur l'inexplicable absence du capitaine.


11 novembre : De grand matin , l'air frais repend à l'intérieur du Nautilus , ce qui signifie qu'ils étaient revenus à la surface de l'océan , pour renouveler les provisions d'oxygène . Cinq jours s'écoulèrent ainsi.


16 novembre : Le capitaine du Nautilus ( Nemo), invite le professeur Aronnax ( le narrateur ) à faire une partie de chasse le lendemain ( 17 novembre) , dans les forêts de l'île de Gresco ( 32°40' de l'atitude Nord et 167°50' de longitude Ouest ) , qui , autre fois se prénommée ( sur les cartes espagnoles) Rocca de la Plata qui veut dire " Roche d'Argent ".


17 novembre: Le narrateur poses des questions au capitaine sur le fait qu'il ai des îles sur terre , alors qu'il a rompu tout lien avec celle-ci. Mais il va apprendre que ce qu'il pensait être sur terre est en réalité sous-marins. C'est en apprenant que le capitaine veut chasser à pied , le fusil à la main et dans l'eau , que le narrateur pense que le capitaine devient fou et que son cerveau est malade.


"Monsieur le professeur , quand je vous ai proposé de venir chasser dans mes forêts de Gresco , vous m'avez cru en contradiction avec moi-même . Quand je vous ai appris qu'il s'agissait de forêts sous-marines , vous m'avez cru fou. Monsieur le professeur , il ne faut jamais juger les hommes à la légère. 


18 novembre : Après une bonne nuit de sommeil , le narrateur explique comment l'Océan était désert , que les " hauteurs " de l'île de Gresco avaient disparu pendant la nuit. La mer avait des couleurs de "prismes". Le narrateur admire ce magnifique paysage quand le capitaine Nemo apparait et commence une série d'observation "astronomiques". Quelques matelots retirent les filet mis en place la nuit pour attraper du poisson ( des lophies , des commerçons noirs , des balistes ondulés , des tétrodons-croissants et bien d'autres). Cette pêche sert à renouvelée les provisions. Le capitaine Nemo explique mille chose différente et qui sont si intéressantes et passionnantes pour le professeur Aronnax.




« Quant aux infusoires, reprit-il, quant à ces milliards d’animalcules, qui existent par millions dans une gouttelette, et dont il faut huit cent mille pour peser un milligramme, leur rôle n’est pas moins important. Ils absorbent les sels marins, ils s’assimilent les éléments solides de l’eau, et, véritables faiseurs de continents calcaires, ils fabriquent des coraux et des madrépores ! Et alors la goutte d’eau, privée de son aliment minéral, s’allège, remonte à la surface, y absorbe les sels abandonnés par l’évaporation, s’alourdit, redescend, et rapporte aux animalcules de nouveaux éléments à absorber. De là, un double courant ascendant et descendant, et toujours le mouvement, toujours la vie ! La vie, plus intense que sur les continents, plus exubérante, plus infinie, s’épanouissant dans toutes les parties de cet océan, élément de mort pour l’homme, a-t-on dit, élément de vie pour des myriades d’animaux, – et pour moi ! »

Quand le capitaine Nemo parlait ainsi, il se transfigurait et provoquait en moi une extraordinaire émotion.


26 NOVEMBRE: à trois heures du matin le Nautilus franchit le tropique du Cancer par172° de longitude. L'équipage a parcouru quatre mille huit cent soixante lieues depuis leur point de départ. Il découvrent l'île d'Haouai ( la plus considérable des sept îles qui forment l'archipel)à deux milles sous le vent. C'est une île où l'on peut distinguer depuis le Nautilus , leur lisière cultivée , les diverses chaînes de montagnes , ses volcans qui dominent le Mouna-Rea ( élevé de cinq mille mètre au dessus du niveau de la mer.



1 décembre: La direction du Nautilus se maintient au sud-est . Il coupe l'équateur , par 142° de longitude


4 décembre: Après une rapide traversée ou aucun incident ne c'est déroulé ,ils eurent connaissance du groupe des Marquises . Le narrateur apperçu à trois mille , par8°57' de latitude sud et 139°32' de longitude ouest , la pointe Martin de Nouka-Hiva ,( la principal de ce groupe qui appartient à la France).Il peut distinguer les montagnes boisées mais guère plus car le capitaine Nemo n'aimait pas à rallier les terres.


9/10 décembre : Le Nautilus rencontre une armée de millions de mollusques ( qui sont particulièrement nocturne ). Ils émigraient des zones tempérées vers les zones plus chaudes en suivant le trajet des sardines et des harengs. Le narrateur ne ce lasse pas de ce merveilleux paysage que lui offre la mer.


"On le voit, pendant cette traversée, la mer prodiguait incessamment ses plus merveilleux spectacles. Elle les variait à l’infini. Elle changeait son décor et sa mise en scène pour le plaisir de nos yeux, et nous étions appelés non seulement à contempler les œuvres du Créateur au milieu de l’élément liquide, mais encore à pénétrer les plus redoutables mystères de l’Océan." 


11 décembre: Depuis le 4 décembre , le Nautilus a parcouru environ deux mille milles. Lors de cette navigations ils furent marqués par une immense troupe de calamars ( un mollusque voisin de la seiche). Le narrateur s'adonne à l'une de ses passions , la lecture ( roman de Jean Macé , les serviteurs de l'estomac), tandis que Ned Land et Conseil observaient les eaux lumineuses par les panneaux entr'ouverts. Un peu après , à travers les vitres Conseils lui montre une énorme masse noirs devant le Nautilus , qui se trouve être un navire qui c'est échoué. La vu de ce naufrage attriste beaucoup les deux hommes dû au reste de corps sans vie , encore présent et visible de tous.

"Triste spectacle que celui de cette carcasse perdue sous les flots, mais plus triste encore la vue de son pont où quelques cadavres, amarrés par des cordes, gisaient encore ! J’en comptai quatre, – quatre hommes, dont l’un se tenait debout, au gouvernail, – puis une femme, à demi-sortie par la claire-voie de la dunette, et tenant un enfant dans ses bras. Cette femme était jeune. Je pus reconnaître, vivement éclairés par les feux du Nautilus, ses traits que l’eau n’avait pas encore décomposés. Dans un suprême effort, elle avait élevé au-dessus de sa tête son enfant, pauvre petit être dont les bras enlaçaient le cou de sa mère ! L’attitude des quatre marins me parut effrayante, tordus qu’ils étaient dans des mouvements convulsifs, et faisant un dernier effort pour s’arracher des cordes qui les liaient au navire. Seul, plus calme, la face nette et grave, ses cheveux grisonnants collés à son front, la main crispée à la roue du gouvernail, le timonier semblait encore conduire son trois-mâts naufragé à travers les profondeurs de l’Océan !"

"Quelle scène ! Nous étions muets, le cœur palpitant, devant ce naufrage pris sur le fait, et, pour ainsi dire, photographié à sa dernière minute ! Et je voyais déjà s’avancer, l’œil en feu, d’énormes squales, attirés par cet appât de chair humaine ! "

Ils eûmes connaissance de l'archipel des Pomotou , ancien " groupe dangereux" de Bougainville , qui s'étend sur un espace de cinq cents lieues de l'est-sud-est à l'ouest-nord-ouest, entre 13°30' et 23°50' de latitude sud ,et 125°30' et 151°30' de longitude ouest, depuis l'île Ducie jusqu'à l'île Lazareff.


15 décembre : Le nautilus avait franchi huit mille cent milles . Neuf mille sept cent vingt milles étaient relevé au loch , lorsqu'il passa entre l'archipel de Tonga-Tabou et l'archipel des Navigateur.Il eut connaissance de l'archipel Viti .Cet archipel se compose d'un certain nombre d'îles , d'îlots et d'écueils ( parmi lesquels on remarque les îles de Viti-Levou , de Vanoua-Levou et de Kandudon).

Le nautilus s'approcha de la baie de Wailea,  théâtre des terribles aventures de ce capitaine Dillon , qui , le premier , éclaira le mystère du naufrage de la Pérousse. Cette île fournit abondamment des huîtres excellentes. Le narrateur et l'équipage en mangea plusieurs.


25 décembre : Le Nautilus naviguait au milieu de l'archipel des nouvelles-Hébrides. Celle-ci ce compose de neuf grandes îles et forme une bande de cent vingt lieues du nord-nord-ouest au sud-sud-est , comprise entre 15° et 2° de latitude sud , et entre 164° et 168° de longitude .

" Ce jour là,  c'était Noël,  et Ned Land ne sembla regretter vivement la célébration du《 christmas》, la véritable fête de la famille , dont les protestants sont fanatiques ."

27 décembre : Voilà une huitaine de jours , que le professeur n'avait point aperçu le capitaine Nemo. Quand celui-ci apparut au matin , il s'approcha du planisphère,  posa un doigt sur un point de la carte,  et prononça un seul mot : " Vanikoro" ( nom donné aux îlots sur lesquels vinrent se perdre les vaisseaux de la Pérousse ).


28 décembre : Le Nautilus abandonne les alentours de Vanikoro avec une vitesse excessive.  Le Nautilus prend la direction du Sud-ouest et franchit les sept cent cinquante lieues en 3 jours ,  qui séparent le groupe de la Pérouse de la pointe Sud-est de la Papousie.

1er janvier : Conseil souhaite une bonne année au narrateur mais celui-ci répond :

" J'accepte tes voeux et je t'en remercie . Seulement,  je te demanderai ce que tu entends par 《 une bonne  année 》, dans les circonstances où nous nous trouvons ".

Il se demande si cette nouvelle année sera pour lui la fin de leur emprisonnement ou si ils continueront cet étrange voyage.

Malgré le fait qu'ils sont "prisonniers " , ils s'estiment comme chanceux de pouvoir voir de merveilleux paysages et de découvrir de nombreuses choses. Sauf Ned Land à qui il manque de bon vin , du pain et de la viande car il est fin gourmet et ne peux se contenté de manger que du poisson.

2 janvier : L'équipage a parcouru onze mille trois cent quarante milles , soit cinq mille deux cent cinquante lieues depuis leur point de départ dans les mers du Japon.

" Devant l'éperon du Nautilus s'étendait les dangereux parages de la mer de corail , sur la côte nord-est de l'Australie.  Notre bateau prolongeait à une distance de quelques milles ce redoutable banc sur lequel les navires de Cook faillirent se perdre , le 10 juin 1770."

Aronnax souhaite visiter ce récif long de trois cent soixante lieues , contre lequel  la mer, se brise avec une intensité formidable. Malheureusement le Nautilus l'entraîne à une grande profondeur lui permettant de ne rien voir.  Cependant il ce contenta de regarder les poisons attrapés  auparavant par les filets comme des germons ( espèces de scombres grands comme des thons , aux flans bleuâtres et rayés de bandes transversale qui disparaissent avec la vie de l'animal). Mais il y avait aussi spares verctors,  des pyrapèdes volants ( de véritables hirondelles sous-marienes , ayant , à la nuit tombé,  des lueurs phosphorescentes), ect....

4 janvier : ils on eu connaissance des côtes de la Papouasie.  A cette occasion , le capitaine Nemo appris à Arronax que son intention était de gagner l'océan indien par le détroit de Torrès . Ned était fort content que cette route le rapprochait des mers européennes. Ce détroit sépare de la Nouvelle-Hollande la grande île de la Papouasie ( nommée aussi Nouvelle-Guinée).

" Le Nautilus se présentera donc à l'entrée du plus dangereux détroit du globe , de celui que les plus hardis navigateurs osent à peine franchir , détroit que Louis Paz de Torrès affronta en revenant des mers du Sud dans les Mélanie,  et dans lequel , en 1840 , les corvette échouées de Dûment d'oreille furent sur le point de se perdre corps et biens . Le Nautilus lui-même,  supérieur à tous les dangers de la mer , allait , cependant , faire connaissance avec les récifs coralliens."

5 janvier : Après l'accord de capitaine Nemo suite à la demande du narrateur pour débarquer sur la terre ferme , Conseil,  Ned Land et  Arronax prirent le canot , les fusils et les haches. En effet ils veulent allé chassé.  Ned Land a hâte de manger du gibier. 

" De la viande ! Répétait-il , nous allons donc manger de la viande , et quelle viande !"

" Il reste à savoir,  dis-je , si ces forêts sont giboyeuses , et si le gibier n'y est pas de telle taille qu'il puisse lui-même chasser le chasseur. "

Après avoir trouvés des provisions tel que des bananes , des mangues , des ananas  et du sagou ( substance comestible qui sert principalement à l'alimentation des populations mélanésiennes), ils repartirent au bord du Nautilus , malheureusement , sans viande . Ils espèrent faire mieux le lendemain .


6 janvier : Les prisonniers étant revenu à bord du  Nautilus , ayant bien mangé et bien dormi , veulent déjà repartir découvrir une nouvelle partie de la forêt, l'une ayant déjà était découverte. En arrivant sur celle-ci , ils se retrouvent devant la lisière d'un petit bois , où ils trouvent de nombreux oiseaux à chasser ( des  kakatouas , des loris rouge , des kalaos  et des papouas) . Malheureusement,  ces oiseaux là, sont peu comestibles. 

" Vers onze heure du matin , le premier plan des montagnes qui forment le centre de l'île était franchi , et nous n'avions encore rien tué.  La faim nous aiguillonnait. "

" Très - heureusement,  Conseil , à sa grande surprise , fit un coup double et assura le déjeuner. Il abatit un pigeon blanc et un ramier  , qui , lestement plumés et suspendus à une brochette , rôtirent devant un feu ardent de bois mort ."

Le narrateur trouve,  sur cette île,  une espèce rare de  volatile. 

" Je souhaitais vivement de pouvoir ramener à Paris ce superbe spécimen des paradisiers , afin d'en faire don au Jardin des Plantes , qui n'en possède pas un seul vivant ." 



Ils ont pu chasser du sagou , un cochon et des kangaroos. Ils ont pu manger du pain de l' artocarpus , récolter quelques mangues , une demi-douzaine d'ananas , et de la liqueur fermentée de certaines noix de cocos .

Ils veulent rester sur l'île le soir , et ne pas rentrer au Nautilus , mais le lendemain,  ils reçoivent des pierres et il se trouvent que ce sont une vingtaine de naturels , armés d'arcs et de frondes , qui sont apparut sur la lisière d'un taillis  , leur jetant des pierres et des flèches.  

8 janvier : Les indigènes ne sont pas loin du Nautilus . Ils ont un front large et élevé,  un gros nez mais non épaté,  aux dents blanches.  Leur chevelure sont laineuse,  teinte en rouge , tranchait sur un corps , noir et luisant comme celui des Nubiens . Ces sauvages sont généralement nus.


" Un de ces chefs , assez rapproché du Nautilus , l'examinait avec attention.  Ce devait être un 《 mado 》 de haut rang , car il se drapait dans une natte en feuilles de bananiers , dentelé sur ses bords et révélée d'éclatantes couleurs . "

Ce jour là,  les prisonniers ne prirent pas le canot , ce qui déplus à Ned Land qui voulait compléter ses provisions . 

11 janvier : ils doublent le cap Wessel , situé par 135° de longitude et 10° de latitude nord , qui forme la pointe Est du globe de Carpentarie. Le Nautilus évite les brisants de Money à bâbord,  les récifs Victoria à tribord ( placé par 130° de longitude , et sur ce dixième parallèle que nous suivions rigoureusement) .

13 janvier :  Le capitaine Nemo arrive dans la mer de Timor , dont une île porte le même nom . Cette île est gouverné par des radjahs( ils sont issues de la plus haute origine à laquelle un être humain puisse prétendre) . Cette île ne fut visible que quelques instants , à midi . Le Nautilus se dirige vers le Sud-Ouest , prenant le cap sur l'océan Indien. Le narrateur se pose  la question d'où le capitaine conte les amener la prochaine fois . Suite à cette interrogation , ils ont longés les brisants de Cartier , d'Hibernia , de Seringapatam et de Scott .

14 janvier :  Le capitaine Nemo fait des expériences sur les nombreuses et différentes températures de la mer , à des couches différentes.  Pour cela , il utilise du matériel sofistiquer tels que des  sondes thermométriques , ou des appareils basés sur la variation de résistance de métaux aux courants électriques. Arronax suit l'expérience du capitaine Nemo avec grand intérêt. 

" Je suivais ces expériences avec le plus vif intérêt. Le capitaine Nemo y apportait une véritable passion . Souvent , je me demandai dans quel but il faisait ces observations.  Étais-ce au profit de ces semblables ? Ce n'était pas probable , car , un jour où l'autre , ses travaux devaient périr avec lui dans quelque mer ignorée ! À moins qu'il ne me destinât le résultat de ses expériences.  Mais c'était admettre que mon étrange voyage aurait  un terme , et ce terme , je ne l'apercevais pas encore . " 

15 janvier :  Le capitaine du Nautilus demande au narrateur si il connaît les différentes densités que présentent les eaux de la mer . Il lui répondit que non , et que la science manquait d'observations rigoureuses à ce sujet . Pendant plusieurs jours ils firent des expériences en toutes sortes sur les degré de salure des eaux à différentes profondeurs , sur leur coloration , sur leur transparence etc ....

16 janvier :  Les appareils électriques du sous-marins ne fonctionnent plus  et son hélice , immobile , le laisse errer au gré des courants. Le narrateur pense que l'équipage est en train de tout réparer . Le temps est orageux et le ciel est  couvert d'épais nuage . 

" J'observais l'état de la mer dans ces conditions , et les plus gros poissons ne m'apparaissaient plus que comme des ombres à peine figurées , quand le Nautilus se trouva subitement transportées pleine lumière.  Je crus d'abord que le fanal avait été rallumé , et qu'il projetait son éclat électrique dans la masse liquide . Je me trompais , et après une rapide observation,  je reconnus mon erreur . " 

18 janvier :   Le sous-marin se trouve par 105° de longitude et 15° de latitude méridionale . La mer est agitée,  le vent est violent annonçant une lutte violente des éléments.  Le capitaine , en regardant au loin semble être petit à petit consumé par la colère,  ce sentiment , expliqué par son oeil qui brille d'un feu sombre , ses sourcils froncés , son corps raide , ses poing fermé,  témoignant d'une grande haine . Après cette élan de colère,  le capitaine demande à ses prisonniers si il peut les enfermer un moment et les libérer quand bon lui semble . Arronax ni vois aucun inconvénients , car en effet , il sait que l'homme devant lui est le maître,  le capitaine de se sous-marins. 

19 janvier : Le Nautilus en ce jour du 19 janvier renouvel son air en se maintenant à une profondeur de quinze mètres . Le narrateur s'occupe de de classer ses notes au alentours de deux heures quand il voit apparaître le Capitaine Nemo. Il espère recevoir des explications de la part de son capitaine sur ce qui c'est passer la nuit précédente . Malheureusement il n'en fit rien . Le capitaine semble fatigué de par ses yeux rougis qui n'avaient pas été rafraîchis par le sommeil , son visage exprimé aussi comme une forme de tristesse profonde . 

" Il allait et venait , s'asseyait et se relevait , prenait un livre au hasard , l'abandonnait aussitôt,  consultait ses instruments sans prendre ses notes habituelles , et semblait ne pouvoir tenir un instant en place . " 

Le capitaine demande soudain au  narrateur si il est médecin comme le sont Gratiolet , Moquin-Tandon et autres . Celui-ci lui répond que oui , en effet , il est docteur et interne en hôpitaux et qu'il a pratiqué pendant plusieurs années avant d'entrer au Muséum. Évidemment Arronax  , attend plus de questions de la part de son Capitaine . Celles-ci ne tarde pas à arriver  . En effet , il lui demande de soigner un de ses hommes , ce qu'Arronax accepte . Mais le prisonniers s'inquiétait plus pour ce qui c'était passé la veille que par son nouveau patient. 

" La blessure était horrible.  Le crâne,  fracassé par un instrument contondant , montrait la cervelle à nu , et la substance cérébrale avait subi une attrition profonde . Des caillots sanguins s'étaient formés dans la masse diffluente,  qui affectait une couleur lie de vin . Il y avait eu à la fois contusion et commotion du cerveau. La respiration du malade était lente , et quelques mouvements spasmodiques des muscles agitaient sa face . La phlegmasie cérébrale était complète et entraînait la paralysie du sentiment et du mouvement. " 

Malheureusement ont apprend que le blessé sera mort dans 2 heures car rien ne peut le sauver . 

20 janvier : Le dirigeant du sous-marin propose au Médecin de faire une excursion sous-marine , accompagné , si ils le veulent , de ses compagnons.  Il ne fut pas question une seule fois du mourant . Ned Land et Conseil furent très disposé à les suivre dans cette aventure. A huit heures du matin , ils étaient déjà tous vêtus pour cette promenade,  munis des deux appareils d'éclairage et de respiration.  Les appareils Rumhkorff furent mis en activité,  ils suivirent un banc de corail en voie de formation . Le prisonniers est fasciné par la lumière qui produit mille effets charmant qui s'entremêlent au milieu de ces ramures si vivement colorées.  Il rêvent de collecter des échantillons de ces plantes que l'ont ne trouve pas sur la surface . 

" Le hasard m'avait mis là  en présence des plus précieux échantillons de ce zoophite.  Ce corail valait celui qui se pêche dans la Méditerranée,  sur les côtes de France , d'Italie et de Barbarie " 

Nous apprenons dans ce récit que ce corail si précieux se vent jusqu'à cinq cent francs le kilogramme . 

" Cette précieuse matière,  souvent mélangée avec d'autres polypiers,  formait alors des ensembles compacts et inextricables appelés 《 macciota 》 , et sur lesquels je remarquai d'admirables spécimens de corail rose ."

Après deux heures de marche ,  l'équipage atteint une profondeur de trois cents mètres environ.  A ce niveau de profondeur,  ce n'est plus quelques corail ou algues qui ce trouves sur leur chemin , mais plutôt  une forêt immense avec de grandes végétations minérales .  A un moment toute  l'ensemblée c'était arrêté en demi-cercle autour de leur chef . Le sol était gonflé,  en de certains points  " par de légère extumescences encroutées de dépôts calcaires , et disposées avec une régularité qui  qui trahissait la main de l'homme ". 

Le Capitaine fit un signe à l'un de ses hommes , celui-ci s'avança et commence à creuser un trou avec une pioche qu'il détacha de sa ceinture.  Le prisonniers compris que l'endroit où ils se trouvaient été en réalité un cimetière et que l'homme creusait une tombe pour l'homme baissait qui a succombé à ces nombreuses blessures qui été mortels.  

21 janvier : Le second vient prendre la hauteur du soleil.  Le prisonnier monte sur la plate-forme , en s'allumant un cigare , tout en regardant ce qu'effectuer le second.  Il observait au moyen du sextant , un des matelots du Nautilus . Pendant ce temps,  l'homme vigoureux qui les avait suivis lors de leur première excursion,  était en train de nettoyer les vitres du fanal. Ils sillonnnes les flots de l'océan Indien ( vaste plaine liquide d'une contenance de cinq cent cinquante millions d'hectares ) , ce sont des eaux tellement  transparentes qu'elles donnent le vertige à ceux qui se penche à la surface . Arronax de se sent point ennuyé ou il n'avait point des moments de lassitude car il occupe sont temps comme il le  pouvait , en rédigeant ses mémoires , en lisant les livres de la bibliothèque ou bien en regardant l'étendu de l'eau et sa richesse , d'une beauté à couper le souffle.  L'équipage se porte comme un gant , ils sont en excellente santé 

"De plus , dans cette température constante , il n'y avait pas même un rhume à craindre. D'ailleurs,  ce madréporaire Dendrophyllée , connu en Provence sous le nom de 《 Fenouil de mer 》 , et dont il existait une certaine réserve à bord  , eût fourni avec la chair fondante de ses polypes une pâte excellente contre la toux. 

Pendant quelques jours , ils virent une grande quantité d'oiseaux aquatiques , palmipèdes,  mouettes ou goélands.

23 janvier : du 21 au 23 , le Nautilus marche à raison de deux cent cinquante lieues par vingt-quatre heures,  soit cinq cent quarante milles , ou vingt- deux milles à l'heure . La plupart des poissons qui entouraient le Nautilus , ne pouvait le suivre,  distancés par la vitesse du sous-marins. 

24 janvier : L'équipage fait la connaissance de l'île Keeling ( elle fut visitée par  M.Darwin et le capitaine Fitz-Roy ). Ses dragues rapporte de nombreux échantillons de polypes et d'échinodermes , et des tests curieux de l' embranchement des mollusques. 



" Quelques précieux produits de l'espèce des dauphinules accrurent les trésors du capitaine Nemo , auquel je joignis une astrée punctifière , sorte de polypier parasite souvent fixé sur une coquille ".

Leur route se dirige maintenant vers le Nord-Nord-Ouest,  vers la pointe de la péninsule Indienne . Ned-Land appelle ces terres , les " terres civilisées " car comparé au îles de la Papouasie , ils ne rencontrent pas des sauvages . Sur ces terres Indienne se trouve des routes , des chemins de fer , des villes anglaises , française et indoues. 



A partir de l'île Keeling . Arronax et ses compagnons font plus souvent usages des plans inclinés que des leviers intérieurs . Le médecin observe , que dans les nappes supérieurs,  l'eau était toujours plus froide sur les hauts fonds qu'en pleine mer.



25 janvier : Le Nautilus passe la journée à la surface . Arronax passe les trois quarts de la journée sur la plate-forme à regarder la mer . Vers quatre heures du soir , il apperçu un long Streamer ( bateau à vapeur ) . Vers cinq heures , avant l'apparition du crépuscule qui lie le jour à la nuit dans les zones tropicales , Conseil et lui furent émerveillés par un " curieux spectacle ".


 " Il est un charmant animal dont la rencontre,  suivant les anciens , présageait des chances heureuses . Aristote , Athénée , Pline , Oppien,  avaient étudié ses goûts et épuisé à son égard toute la poétique des savants de la Grèce et de l'Italie.  Ils l'appelèrent Nautilus et Pompylius . Mais la science Moderne n'a pas ratifié leur appellation et ce mollusque est maintenant connu sous le nom d' Argonaute ". 



Nous apprenons que l'embranchement des mollusques se divisé en cinq classes .

La première classe est : céphalopodes 

Le céphalopode comprend deux familles : les dibranchiaux et les tétrabranchiaux 

Les dibranchiaux comprend 3 genres : l' argonautes,  le calmar et la seiche 

Tandis que les tétrabranchiaux comprend qu'un seul genre : Le nautile 

Arronax explique par la suite qu'après l'explication de Conseil , une personne normale ne pourrai dire qu'il confond l'argonaute ( qui est acétabulifère,  c'est à dire porteur de ventouses avec le Nautile , qui lui est tentaculifère,  c'est à dire qu'il est porteur de tentacules ) car il serait " sans excuse ". 

Ils pouvaient en compter plusieurs centaines à la surface de l'océan.  Appartenant à l'espèce des argonautes tuberculés ( ils sont spéciaux aux mers des Indes ). 

26 janvier :    L'équipage coupe l'équateur sur le quatre -Vingt deuxième méridien . Ils rentrent dans l'hémisphère boréal . Une troupe de Squales leur font cortège.  Ce sont précieusement des squales Philipps au dos brun et au ventre blanchâtre armés de onze rangées de dents .


" souvent , ces puissants animaux se précipitaient contre la vitre su salon avec une violence peu rassurante . "

Ned-Land suite à ces scènes,  veut remonter à la surface et harponner ces monstres . 

27 janvier : Ils rencontrent à  l'ouvert du vaste golfe du Bengale , plusieurs cadavres qui flottent à la surface des flots. 

" c'étaient les morts des villes Indiennes , chariés par le Gange jusqu'à la haute mer  , et que les vautours , les seuls ensevelisseurs du pays , n'avaient pas achevé de dévorer.  Mais les squales ne manquaient pas pour les aider dans leur funèbre besogne . " 

Dans la soirée , le Nautilus semblait navigué dans une mer de lait , effet que produisait les rayons lunaires sur l'eau ( d'après les spectateurs). Mais le ciel était noir en total contraste avec la blancheur de l'eau.  

Conseil se pose des questions sur cet étrange phénomène,  heureusement,  Arronax est en possibilité de lui répondre.  Il lui explique que c'est ce que l'on appelle une mer de lait , typique des côtes d'Amboine et dans ces parages . Cette blancheur n'est due qu'à la présence de myria des bestioles infusoires ( sortes de petit vers lumineux ).  Vers minuit , la mer repris subitement sa teinte ordinaire.  



28 janvier : Le Nautilus revient vers la surface de la mer , dans les alentours de midi , par 9°4' de latitude nord , le prisonnier observe une agglomération de montagnes ( hautes d'environ deux mille pieds ) . Sur les cartes , il peut voir qu'il est en présence de l'île de Ceylan. Le capitaine Nemo , qui vient d'arriver regarde la carte et explique à son prisonnier que l'île est célèbre pour ses pêches de perles . Il lui propose de visiter l'une de ses pêcheries.  Ce qu'Arronax accepte volontiers. 

29 janvier : A quatre heures du matin , il est réveillé par le Stewart que le capitaine Nemo a mis spécialement à son service . Pendant cette journée,  l'île de Ceylan a disparut sous l'horizon , le Nautilus , avec une vitesse de vingt milles à l'heure,  se glisse dans ce labyrinthe de canaux qui séparent les Maledives des Laquedives . Ils ont , à ce jour , fait seize mille deux cent vingt milles , ou environ sept mille cinq cents lieues depuis leur point de départ dans les mers du Japon . 

30 janvier :    Lorsque le Nautilus remonte à la surface de l'océan,  il n'y a plus  aucune terre en vue . Ils font route vers le nord-nord-ouest,  se dirigeant vers la mer d'Oman,  entre l'Arabie et la péninsule Indienne ( qui sert de débouché au golfe Périgueux). Arronax pense que c'est une impasse. Ned-Land ce demande où ils vont et le médecin lui répond " où nous conduit la fantaisie du capitaine " . Ned-Land fait remarquer à Arronax , que cela fait déjà trois mois qu'ils sont emprisonnés à bord du Nautilus . 

5 mars : Le Moravian ( de Montréal Océan Company ) se trouve par 27°30' de latitude et 72°15' de longitude , heurte un roc qui n'était pas dessiné sur les cartes . Sa vitesse était de treize nœuds.  Sans la qualité supérieur  de sa coque , il aurait été englouti avec ses deux cent trente-sept passagers , partis pour le Canada. Cet accident arrive vers 5 heures du matin . 

Nous faisons la connaissance du célèbre Cunard,  un grand industriel,  qui fonda en 1840 , un service postal entre Liverpool et Halifax,  avec , trois navires en bois et à roues d'une force de quatre cent chevaux . Huit ans plus tard , le matériel de la compagnie compte quatre navires de sic cent cinquante chevaux et de dix-huit cent vingt tonnes.

La nuit du 13 au 14 mars : Le Nautilus reprend sa route vers le sud . Arronax pensait qu'à la hauteur du cap Horn,  le capitaine mettrait le cap à l'Ouest afin de rallier les mers du Pacifique et d'achever son tour du monde . Mais il n'en fit rien , et continua vers les régions australes.


"Je commençais à croire que les témérités du Capitaine justifiaient suffisamment les appréhension de Ned Land." 

Depuis peu , le Canadien ne parlait plus de ses projets d'évasion,  devenant presque silencieux.

" Je voyais combien cet emprisonnement prolongé lui pesait . Je sentais ce qui s'amassait de colère en lui . " 

14 mars : Ned Land pose une question à Arronax sur le nombre de personnes qui se trouve dans l'équipage,  ce à quoi Arronax répond qu'il y en a environ 10 . Le Canadien a une théorie et l'explique à ses coéquipier. Sa théorie est que le Nautilus n'est pas seulement un navire , mais un lieu de refuge pour ceux qui , comme le capitaine Nemo,  ont rompu tout lien avec la terre . Conseil , lui , répond que le petit nombre d'effectifs est du à la dépense d'oxygène par personne sachant que le Nautilus remonte à la surface toute les 24 heures . 

15 mars : Ils dépassent les îles New-Shetland et celle de Orkney du Sud . Arronax apprend de son Capitaine que ces îles habitaient autrefois,  des tribus de phoques . Malheureusement , les baleiniers anglais et américains,  dans leur " rage de destruction " massacraient les adultes et les femelles enceintes.  C'est pour cela qu'il n'y a presque plus de phoques autour de ces îles. 


16 mars : Le Nautilus suit le cinquante-cinquieme méridien , en coupant le cercle polaire antarctique. Le sous-marin été entouré de glace.  Arronax est émerveillé de ces somptueux paysages qu'il découvre au fil des excursions

" Les glaces prenaient des attitudes superbes. Ici , leur ensemble formait une ville orientale,  avec ses minarets et ses mosquées innombrables. " 

18 mars : Après vingt assauts inutiles , le Nautilus se vit définitivement enrayé.  Devant eux , se trouvait la banquise . Le sous-marin se trouve par 51°30' de longitude et 67°39' de latitude méridionale.  L'océan était déchaîné,  au loin se trouvait des pics aigus , des aiguilles deliées s'élevant à une hauteur de deux cents pieds . 

" Puis , sur cette nature désolée,  un silence farouche , à  peine rompu par le battement d'ailes des pétrels ou des puffins. " 

Tout était gelé. Le Nautilus dû s'arrêter.  Ned Land conseil au capitaine de ne pas franchir la banquise car personne auparavant n'a pu le faire . Un peu plus tard , vers 4 heures,  une dizaine d'homme,  armés de pics , montèrent sur les flancs du Nautilus , et cassèrent la glace autour de la carène , qui fut bientôt dégagée . Ils atteignent une profondeur de huit cents  mètres.


19 mars : A cinq heures du matin , le médecin repris son poste dans le salon. Le Nautilus remonte vers la surface , petit à petit , en vidant ainsi , lentement,  ses réservoirs. Mais la banquise gêné encore . Cette action fut répété de nombreuses fois mais aucune ne réussi car , à chaque fois , ils percutèrent la banquise . Ils manquent d'air , voilà trois heures maintenant qu'ils auraient du renouveler l'air.  heureusement , vers six heures du matin , le jour le plus mémorable est arrivé.  Ils ont réussi à traverser la mer des banquise.  

20 mars : Le neige à cessé,  il fait un peu plus froid , le brouillard se lève.  Arronax et ses compagnons prennent le canot pour aller sur la terre ferme . Le sol avait une nature volcanique , il y avait des traces de laves,  de scories et de basalte.  Ils peuvent apercevoir des myriades d'oiseaux qui animaient cette partie du continent polaire. Il n'y avait pas que des oiseaux qui peuplant ce territoire mais aussi des phoques et des morses ( des animaux appartenant à la famille des pinnipèdes , ordre des carnassiers , groupe des unguicules,  sous-classe des monodelphons,  classe des mammifères.  ) d'espèces diverses . Conseil est ravi que Ned-Land ne les ai pas accompagnés car il  les aurait tout tués.

Nous pouvons apprendre que les lobes cérébraux de ces cétacés , était considérablement développé,  plus que l'Homme en matière cérébrale qui est plus riche chez ces mammifères. 







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